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rue Charles Doron, architecte (1957-20..)

28 janvier 2014

Architecture: bibliothèque du campus de l'université d'Helsinki

Université Helsinki

Tombé sur ce magnifique bâtiment aux ambiances intérieures somptueuses, propices au calme,à l'étude aussi bien qu'à la rêverie.

http://www.archilovers.com/p17244/University-of-Helsinki-City-Campus-Library

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28 janvier 2014

Confluence ne manque pas d'énergie!

La deuxième tranche a été lancée par Gérard Collomb. À Confluence on positive...

http://www.actu-environnement.com/ae/news/reportage-video-ecoquartier-confluence-lyon-20506.php4

27 janvier 2014

Lundi 27 janvier 2014: J-7 avant la fin des voeux

Alors à toutes et à tous...

voeux_2014

VOEUX2014-recto3a

VOEUX2014-verso3a

20 juin 2013

La paille et la poutre.

La construction bois/paille prend de la hauteur, Actu-Environnement.com <http://Actu-Environnement.com> , 17/04/13
Baptiste Clarke
 
Désormais les constructions bois / isolation paille ne sont plus cantonnées à de faibles hauteurs à l'image de la résidence Jules Ferry construite dans les Vosges. Le bâtiment passif à ossature bois, isolé par de la paille, compte en effet 7 étages !
Force est de constater que les filières construction bois / isolation paille se sont professionnalisées ces dernières années. Les procédés de fabrications se sont perfectionnés tandis que les expérimentations ont permis de dépasser les appréhensions, notamment en ce qui concerne la résistance au feu.
Le label Passiv Haus au sommet des 7 étages
La résidence Jules Ferry, située à proximité du centre de ville de Saint Didié les Vosges (88) est conçue autour de 2 bâtiments de conception urbaine et architecturale bioclimatique. Grâce à son enveloppe constituée de panneaux de structure bois massif d'épicéa contrecollé associés à des caissons préfabriqués remplis de paille le coefficient de transmission thermique U des parois est deux fois supérieur à celui exigé par la RT2012. Avec une pompe à chaleur géothermique, une ventilation double flux et des capteurs solaires thermiques, ces bâtiments passifs ont été certifiés PassivHaus (15 kWh/m2).
Vidéo à voir à :
<http://www.actu-environnement.com/ae/news/construction-immeuble-bois-paille-18315.php4>

20 juin 2013

L'énergie la moins chère est celle que l'on ne consomme pas. Le gouvernement va t'il finir par comprendre?

Rénovation thermique : un plan ambitieux, L’Ademe&Vous le magazine  n°63, mars 2013

Contexte / Un récent plan gouvernemental prévoit la rénovation thermique de 500 000 logements par an.
Actions / Les résultats de deux études sur le logement des Français décryptés par Régine Trotignon, coordinatrice de secteurs au service Bâtiment de l’Agence
Terrain / Deux exemples concrets de rénovation réussie : l’un en maison individuelle, l’autre en copropriété.
Repères :
• 52 % des ménages qui ont réalisé des travaux de rénovation énergétique ont bénéficié ou comptent bénéficier du crédit d’impôt développement durable (OPEN 2012).
• 2 533 000 logements ont fait l’objet d’une rénovation énergétique en 2011 (OPEN 2012).
• 134 000 rénovations ont été classées en efficacité énergétique – bouquets de travaux sur chauffage, ouvertures, isolation – en 2011 (OPEN 2012).
Pour accéder au dossier en ligne :
<http://ademe-et-vous.ademe.fr/le-magazine-n-63-dossier>
Pour télécharger le dossier sur la Rénovation thermique (PDF - 772 Ko)
<http://ademe.typepad.fr/files/ademevous63_dossier.pdf>

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22 mars 2013

Dégustation de façades

On peut, depuis des siècles, savourer avec les yeux voire le toucher, la beauté architecturale, le relief, la composition subtile d'une modénature de façade. On pourra peut-être bientôt y ajouter le goût comme nous le démontre cet article d'Univers Nature. Surprenant, non?

 

Des algues sur les murs pour économiser l'énergie, Univers Nature, 19/02/13
 
SymBio2-BOX : c'est le nom quelque peu barbare de ce qui deviendra peut-être, dans un futur plus ou moins lointain, une norme du bâtiment. Il s'agit en fait du fruit du travail de l'agence X-TU Architects, du laboratoire GEPEA de l'Université de Nantes et de la société Algosource Technologies, qui ont toutes trois collaboré pour créer une biofaçade dans laquelle s'ébattent des micro-algues. L'idée est partie d'un simple constat : sur les façades des bâtiments, les ouvertures (fenêtres…) représentent rarement plus de 50% de la surface totale. Pourquoi alors ne pas utiliser les 50% restants, délaissés alors qu'ils sont exposés en plein soleil, et en tirer profit ?
Cette biofaçade serait en fait composée d'une multitude de bassins directement fixés sur les parois, et qui présenteraient une mutlitude d'avantages.
● Le premier d'entre eux serait de permettre des économies d'énergie : en ajoutant une couche aux parois, les déperditions d'énergie sont moindres.
● Le deuxième, c'est de permettre l'utilisation d'eaux usées pour ces cultures : autant de volumes qui n'iront pas dans les égouts.
● Troisième avantage : la culture de microalgues permet la captation de CO2 et la production d'O2. Mais les concepteurs de SymBio2-BOX voient plus loin que cela, et estiment que cette biofaçade leur permettrait de réaliser une économie d'énergie de l'ordre de 80% par rapport à un procédé de culture d'algues en bassins classiques, ce qui permettrait aux producteurs d'algues de se lancer sur le marché de l'alimentaire. Il ne faut pas oublier que demain, ce seront 8, 9 puis 10 milliards de bouches qu'il faudra nourrir, sans pour autant détruire la planète. Les techniques innovantes et efficaces, dont celle-ci, seront alors bonnes à prendre.
D'ailleurs, si l'on en croit les récentes projections de chercheurs, les villes sont amenées à prendre de plus en plus d'importance : d'ici 2030, ce sont 1,5 milliards de personnes supplémentaires qui habiteront en ville de par le monde. Quant à la surface des aires urbaines, alors qu'elle ne représentait que 0,5% des terres en l'an 2000, elle est appelée à tripler dans les vingt prochaines années. Autant de nouveaux immeubles, et de nouvelles façades, que les microalgues pourraient coloniser bien plus vite qu'on ne le pense. Mais avant de partir à la conquête du monde, une première biofaçade va être édifiée dès cette année à Saint-Nazaire, pour une expérimentation en conditions réelles.
Croisons les doigts pour que les tests s'avèrent concluants.
<http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=5365>

12 mars 2013

Quand les toits fleurissent...

Le temps des toitures en pente à 37% et des tuiles de Ste Foy Omega 13 obligatoires est il révolu?

C'est la bonne nouvelle que nous laisse entrevoir le Ministère de l'Écologie.

 http://ecohabitat-9.trouver-un-logement-neuf.com/infos/eco-habitat-toitures-vegetalisees-inopposables-2479.html

Les couvreurs vont faire la gueule et les jardiniers vont se faire étancheurs.

En fera t'on pour autant le barbecue du dimanche sur le toit?

À voir...

24 janvier 2013

Architecture(s) 1- Steven Holl

Des portes ouvrent sur d'autres portes...C'est l'un des intérêts d'internet et je vous ferais découvrir (à certains en tout cas) des horizons (ici architectural) qui se dévoilent sur la toile. Ainsi le site de la revue DEZEEN nous invite à explorer les champs du design actuel qui s'exprime notamment dans l'architecture.

Aujoud'hui: STEVEN HOLL

Grand architecte américain, il est un grand inventeur de formes qui nous transportent dans un monde ou Holl nous fait perdre nos repères pour les renouveller ou en substituer d'autres. De la haute couture "architecturale".

http://www.dezeen.com/tag/steven-holl/

4 janvier 2013

Fini le béton gris?


Glané dans la revue de presse de la FNH (Fondation Nicolas Hult), un article intéressant qui montre que l'innovation en matière de nouveau matériau, ne tarit pas. 


Espagne. Les façades changent de couleur grâce au béton vert
, Greenetvert, 19/12/12
 
Le béton mis au point par les chercheurs de l’université de Catalogne absorbe une partie de l’eau de pluie pour se recouvrir de mousses et de lichen. Cette couche végétale améliore à la fois l’efficacité énergétique et les qualités esthétiques des bâtiments, tout en favorisant la capture de CO2.
Le ciment biocompatible offre un support organique
Pour construire des façades « vivantes », les chercheurs de l’Université polytechnique de Catalogne (UPC) ont créé des panneaux de béton biologique sur lesquels peuvent se développer différents micro-organismes.
Au-delà des qualités ornementales de ce nouveau matériau, les végétaux permettent d’améliorer le confort thermique des constructions, sans qu’il soit nécessaire d’appliquer un revêtement sur le béton.
Pour réussir ce tour de force, l’équipe de l’UPC a eu recours à deux matériaux traditionnels : le béton conventionnel carbonaté, fabriqué à partir de ciment de type Portland, et le ciment de phosphate de magnésium.
Ce dernier est en fait un mortier de réparation à prise rapide, également utilisé en médecine et en odontologie en raison de sa biocompatibilité.
Grâce à un pH proche de 8, le nouveau béton offre un support organique naturel apte à la croissance de divers organismes vivants, comme les microalgues, les champignons, les lichens et les mousses.
Des micro-organismes qui changent de couleur
L’invention est en cours de brevet, et les chercheurs s’efforcent désormais d’accélérer le processus naturel de colonisation, afin d’obtenir un aspect visuel satisfaisant en moins d’un an.
En se développant, les espèces recouvrant le béton feront évoluer de manière naturelle la coloration des façades au fil des saisons. La prédominance de ces micro-organismes permettra également d’empêcher l’apparition d’autres végétaux, dont les racines pourraient endommager le matériau.
Pour augmenter la bioréceptivité du béton, les chercheurs ont dû modifier d’autres paramètres en plus du pH, comme la porosité et la rugosité superficielles. Le secret de ce nouveau béton réside dans sa capacité à absorber l’eau de pluie, grâce à différentes couches recouvrant la partie structurelle du matériau.
L’eau est stockée entre les couches
La première imperméabilise le béton, et empêche l’humidité d’atteindre le cœur du matériau. La deuxième est une couche organique, qui permet la rétention d’eau et la colonisation. Cette microstructure interne capte et emmagasine l’eau de pluie pour faciliter le développement des organismes vivants.
Enfin, la dernière couche est un revêtement imperméable mais discontinu, qui laisse pénétrer l’eau et ne la laisse ressortir qu’en certains points donnés afin de la canaliser à l’intérieur du béton.
En se développant, les micro-organismes absorbent du CO2 et permettent une diminution de l’empreinte carbone du matériau. La couche de végétaux améliore également son efficacité énergétique et rend le « béton vert » particulièrement attractif tant sur le plan écologique qu’esthétique.
Source : Ecoticias

http://www.greenetvert.fr/2012/12/19/les-facades-changent-de-couleur-grace-au-beton-vert/70260

4 janvier 2013

3,2,1,0...PARTEZ!

Et oui, c'est parti (changer l'ordre) pour 2013!

VOEUX2013-recto3a

VOEUX2013-verso3a

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